Raconte-nous ton actu récente et notamment cette nouvelle prise de poste !
Je suis chez Gorillas depuis mai 2021 et je suis arrivée en tant que Rider Ops Manager. Un poste très complet et opérationnel. Comme la startup venait de s’implanter en France, il fallait créer tous les process humains et matériels. Depuis début janvier 2022, mon poste a évolué et je suis désormais People Engagement Manager chez Gorillas France. Je ne m’occupe plus uniquement des riders, je suis aussi en charge de tout le staff en magasin. Je fais en sorte que tout le monde travaille dans les meilleures conditions, que tout le monde soit le plus épanoui et trouve sa place.
Quels ont été les éléments déclencheurs qui t’ont amenée à considérer ce nouveau challenge ?
Cela faisait 3 ans que j’étais dans mon ancienne startup et je sentais que c’était le bon moment pour découvrir de nouveaux challenges, d’avoir de nouvelles ambitions professionnelles. J’avais envie d’évolution et de me “remettre dans le bouillon”.
Par ailleurs, Maxime connaissait très bien mes attentes et aspirations professionnelles. Quand le poste chez Gorillas est sorti, il a directement pensé à moi et il me l’a proposé.
Qu’est-ce qui t’a séduit dans l’approche Avizio ?
Quand je me suis lancée avec Avizio je n’ai fait qu’un seul process de recrutement qui est celui pour lequel je suis aujourd’hui chez Gorillas. En réalité, ils ont su trouver le poste qui me convenait. Je n’avais même pas besoin de me poser de questions sur le fit entre la boîte et moi, de savoir si c’était mon secteur d’activité, si j’avais les compétences ou pas : c’était évident et direct. C’est un gain de temps formidable.
L’accompagnement a été complet du début à la fin. À chaque entretien, j’avais un suivi et un debrief, des réponses à mes questions. C’est très rassurant d’avoir un feedback externe qui prend les avis des 2 parties. La préparation des entretiens est facilitée et cela permet de se rassurer : c’est stimulant.
Sans le mentorat et les conseils que Maxime m’a donnés en amont je n’en serai pas là.
D'un point de vue talent comment perçois-tu le secteur dans lequel tu bosses ?
On est sur un marché tout nouveau en pleine expansion, hypervolatile avec une croissance fulgurante. On est une dizaine de compétiteurs sur le marché français aujourd’hui et évidemment cela crée beaucoup de nouveaux challenges et des jobs inconnus avant. Des jobs qui sont très intéressants et stimulants qui mixent de l’opérationnel avec tout un tas d’autres thématiques.
Ce que je trouve stimulant au quotidien, c’est le défi de faire mieux et toujours plus vite tout en proposant un service de qualité. J’aime pouvoir proposer un nouveau moyen de consommer en respectant les personnes avec qui je travaille au quotidien. Par exemple, c’est important pour moi de pouvoir proposer des CDI à des personnes qui n’auraient pas pu en trouver ailleurs.
Comment perçois-tu l’écosystème startup dans 10 ans ?
Le secteur de la statup ne cesse d’évoluer, j’en suis à la 4eme aujourd’hui. L’expérience est variée avec des avantages et inconvénients. Pour moi, on va aller sur des modèles encore plus linéaires, en remote, avec un bel apport de la tech pour nous aider de plus en plus dans nos métiers.
Surtout en termes de polyvalence, c’est assez fou ce qu’on propose aujourd’hui : on part généralement de pas grand-chose mais avec tous les outils qui existent sur le marché n’importe qui peut créer un site, peut écrire et diffuser son contenu. Il faut évidemment bien s’entourer. N’importe quel projet a une chance de pouvoir voir le jour.
C’est quoi ce qui te plaît le plus dans ton job ?
Ce qui me plaît c’est d’être sur un secteur ultra-compétitif ce qui nous permet d’être challengé tous les jours. En 9 mois j’ai fait plein de jobs, il a fallu créer, essayer, recommencer, se tromper aussi. Rien n’est figé, tout est à construire. On réinvente le truc tous les jours et c’est ça qui est passionnant
C’est quoi ton talent caché ?
Maxime m’appelait solution parce que je trouve toujours des solutions. Je dis toujours qu’il n’y a jamais de problème, il y a toujours des solutions. C’est le talent de tout bon jeune startupeur, c’est de s’adapter, de prendre un problème de le tourner dans tous les sens trouver la solution et d’avancer. Je m’adapte vite et bien j’ai l’impression !