Raconte-nous ton actu récente et notamment cette nouvelle prise de poste !
Je suis arrivé en juin 2021 chez Captain Contrat en tant que Head of Client Success Manager.
J’ai 2 équipes avec presque 15 personnes à gérer au quotidien .
L’actualité est assez riche en termes de prise de poste, de découverte des équipes, de premiers changements à faire, de résultats à obtenir, de nouveaux sujets. On a par exemple lancé une réattribution du parc clients à nos CSM, de sorte qu’ils puissent travailler comme plein d’autres startups. On a beaucoup d’ambition pour Captain Contrat : réduire le churn, gagner plus de clients. Des sujets qui touchent de près l’équipe CSM.
Un mot sur Captain Contrat et ses clients ?
Captain Contrat est une plateforme qui aide les entrepreneurs à créer des sociétés. On les suit du début de leur société jusqu’à la dissolution. Et tout au long on apporte un accompagnement, un suivi au quotidien.
Nos clients ce sont les entrepreneurs : c’est une palette très large de la profession libérale aux startupeurs, à l’artisan, au commercial. Le champ des possibles en matière de clients chez Captain Contrat est élevé.
Quels ont été les éléments déclencheurs qui t’ont amené à considérer ce nouveau challenge ?
Je n’étais pas en recherche active, je suivais un peu je regardais ce qui se faisait, et je réfléchissais doucement à mes perspectives d’avenir à plus ou moins moyen terme. Je voulais un peu plus de challenge, de management d’équipe et pouvoir influer directement sur la société pour laquelle j’allais travailler. Un matin, Ludmila m’a appelé avec une proposition de job chez Captain Contrat. Il y avait tous les aspects du boulot que je cherchais : challenge, management. On a échangé et ça m’a donné l’envie d’aller plus vite dans les process.
Finalement, c’est Avizio qui m’a poussé à vouloir avancer vers ce nouveau challenge.
Qu’est-ce qui t’a séduit dans l’approche Avizio ?
Ce qui m’a bien séduit dans l’approche d’Avizio c’est le côté extrêmement individualisé. Je sentais vraiment que l’offre était ciblée par rapport à ce que je voulais. On avait déjà échangé avant sur mes aspirations et ce que je voulais faire. Il y avait une compréhension de mon envie de carrière et pas uniquement la volonté de me placer dans la boîte X ou Y. Il y a une posture d’accompagnement pendant les entretiens.
Et il y a aussi quelque chose d’assez rare : on a souvent peu de feedback de la boîte qui est en train de nous recruter. Dans mon cas je savais que l’entretien s’était bien passé, quelles allaient être les prochaines étapes. C’est une sorte de mentoring pour être plus efficace et les équipes d’Avizio le font de manière très forte.
C’était un poste qui me parlait que j’avais vu sur d’autres sites et pour lequel je n’avais pas forcément pris le temps de postuler. Avec Avizio, il y avait un prétravail qui avait été fait et cela donnait envie d’avancer plus vite. C’était ciblé, et précis.
Maintenant que je suis du côté client et que je travaille avec Avizio, je peux dire que le niveau d’accompagnement pour les sociétés est le même.
Le fait de travailler avec Avizio, ça rassure beaucoup sur la prise de poste. Ça permet de se sentir en confiance sur le fait changement de job. Avizio vient baliser le risque d’un changement de job et quand on arrive en poste on sait qu’on ne se trompe pas.
Peux-tu nous décrire ton métier de CSM ?
Le CSM au quotidien c’est 2 choses :
- s’occuper des clients pour ne pas qu’ils churnent de la solution
- faire de l'upsell, c’est-à-dire d’aller grossir le chiffre d’affaires par client.
Un client satisfait c’est le cœur du métier du CSM.
C’est un métier qui demande des qualités humaines, commerciales et surtout une envie de se battre quand un client veut partir. Que ce soit un petit ou un grand compte ce sont les mêmes logiques.
C’est un métier nouveau. Avant on parlait de service client, avec une connotation un peu ancienne. Ce n’est pas du tout ça, c’est un niveau d’accompagnement élevé car c’est l’image de la boîte au quotidien. J’échangeais il y a quelques jours avec un fondateur de startup qui me disait que son 1er recrutement clé était le Head of CSM. Il avait besoin de quelqu’un pour s’occuper de ses clients pour pouvoir se consacrer à l’acquisition de nouveaux.
D'un point de vue talent comment perçois-tu le secteur dans lequel tu bosses ?
Je suis dans une legaltech, un secteur que je connais bien car c’est ma deuxième expérience dans ce domaine. C’est un secteur en perpétuelle évolution, hyper challenging, le marché est immense et commence à se structurer. Ça bouge tous les jours, il faut recruter sans cesse, et pour autant cela reste un secteur structuré.
En tant que talent, je le vois comme un endroit où on peut s’épanouir. Avec mon cursus juridique c’était un peu logique pour moi d’arriver dans une legaltech. Je me rends compte avec le recul que le droit ça amène à tout et ça sert.
Quel conseil donner à un talent qui hésite à rejoindre une legaltech ?
Le legaltech est un secteur où on vient dépoussiérer des entités qui n’ont jamais bougé depuis des années. Avec le droit on touche aux institutions, au sacré presque. C’est magnifique d’aller bouger des choses là-dessus. Et on se rend compte qu’en faisant bouger les choses il y a des secteurs entiers qui ont été oubliés de cette croissance et dont on vient s’occuper.
Chez Captain Contrat on travaille avec les entrepreneurs, un type de client qui a besoin de beaucoup de juridique mais qui n’a pas les connaissances du juridique. C’est très enrichissant cette notion d’accompagnement au quotidien ! C’est un secteur formidable !
Comment vois-tu l’écosystème startup dans 10 ans ?
C’est un secteur qui va continuer à exploser, on le voit avec le nombre de licornes qui explose. Au début on s’est interrogé sur la durabilité de ces modèles. Maintenant, on voit que les startups embauchent plusieurs milliers, millions de personnes. C’est un nouveau mode d’organisation du travail. On l’a vu pendant la crise covid, les startups ont permis à l’économie de continuer à fonctionner, ont fait leurs preuves sur leur efficacité. Le modèle se structure tant au niveau de l’organisation que du droit du travail.
Et puis d’autres secteurs vont commencer à s’ouvrir. Ce que je trouve incroyable c’est qu’aujourd’hui je travaille en legaltech mais dans 10 ans je ne sais pas où je serai. Il y a 5 ans j’ai commencé ma vie pro dans le tourisme, je n’y connaissais pas grand-chose venant du droit et je ne pensais pas que quelques années plus tard j’allais diriger 15 personnes dans une legaltech. Le champ des possibles est infini.
Qu'est-ce qui te plaît le plus dans ton job ?
Ce qui me plaît le plus c’est de faire monter en compétence les équipes, les faire grandir. C’est important, c’est ce qui me fait vibrer. J’aime voir les indicateurs qui étaient flat, monter. J’aime bien aussi l’idée d’aller atteindre des objectifs de boîte pour amener Captain Contrat à un niveau de churn world class sur le marché, avoir un NPS très haut par rapport à d’autres concurrents ou secteurs d’activité.
J’aime l’ambiance qu’on a entre les managers de la boîte, on se challenge sur des sujets communs.
Parle-nous de ton side-project !
J’aimerais avancer sur le fait de monter un groupe de Head of CSM pour continuer à échanger. Comme c’est un poste nouveau je prends du temps sur mon agenda pour aller discuter avec d’autres personnes, d’autres boîtes pour essayer de comprendre les sujets communs. À chaque fois on me met dit que ça serait bien de monter un club, de se rencontrer plus, d’échanger.
C’est quoi ton talent caché ?
Mon talent caché c’est que je déteste quand ça ne bouge pas. C’est essayer de tout le temps enclencher du mouvement dans ma vie. Ceci dit c’est un talent qu’il faut un peu calmer car ça peut être fatigant pour les autres parfois.